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CD Fatigue

Fatigue
CD single
2006

label Le confort moderne / L’oreille est hardie
10 € + port
pour commander : contact ou pour acheter directement en ligne

Les heures creuses 

pièce sonore de Dominique Petitgand
1997
 
avec les voix de Colin Auvy et Louise Goutin
 
mastering : F.Lor

(p) & (c) Dominique Petitgand / Le confort Moderne 2006

extrait

extrait

hhhh

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ffff

La voix dans le vide

La voix dans le vide
cycle de 3 performances sonores pour 2 haut-parleurs
2017

face à la mer
durée 3×20 minutes

Route panoramique, Villa Brugère, Arromanches-lès-Bains, 2017

Les heures creuses 

Club de plongée YCPW, Arromanches-lès-Bains, 2017 – photos Madeleine Decaux


Ce cycle de 3 séances d’écoute, pour un public face à la mer, articule des pièces sonores de courtes durées, composées de voix, de paroles, de bruits, d’atmosphères musicales et de silences.
Les pièces choisies sont anciennes et récentes, elles sont diffusées dans un ordre narratif et formel, qui n’est pas chronologique, et dont le fil conducteur, souterrain, est suggéré par quelques enchaînements, repères temporels, et par la présence récurrente des mêmes voix.
Se succèdent soliloques, faux dialogues, réminiscences, descriptions, amorces de catastrophe, symptômes, rêveries, exhalaisons, paysages miniatures et autres récits possibles. Ces séances sont structurées par les silences (à l’intérieur des pièces et entre elles), qui font lien et donnent à l’ensemble le statut temporaire d’une seule et longue pièce.

Les ballons

Les ballons
installation sonore pour 4 haut-parleurs
2006

exposition Une forme olympique, EAC HEC, Jouy-en-Josas, 2016 (cur. Jean-Marc Huitorel)
exposition 10 ans d’expériences, Domaine Pommery, Reims, 2012 (cur. Bernard Blistène)
exposition personnelle, gb agency, Paris, 2011
exposition personnelle Quelqu’un est tombé, abbaye de Maubuisson, Saint-Ouen-l’Aumone, 2009

Les heures creuses 


Les ballons est une installation sonore pour 4 haut-parleurs.
Fixés en hauteur aux coins d’une grande salle vide, ils diffusent des sons de ballons. De la même manière que l’on peut éclairer un détail d’une architecture, ces sons, se déplaçant d’un haut-parleur à l’autre, font sonner le lieu. Ils révèlent l’espace, figurent les distances et définissent la temporalité de l’écoute par des phénomènes d’allers-retours, de rebonds, de jeux de matières et de déplacements.
Indéfiniment, chacune des séquences rejoue ce mouvement : coups de pieds, roulements, rebonds contre différents matériaux mats ou résonants (surfaces métalliques, boisées ou plastifiées, pleines ou creuses), puis chutes sur le sol.
L’œuvre crée un nouvel espace, mental, qui se constitue par la cohabitation au sein de l’espace même de l’exposition, d’un autre espace, multiforme, convoqué et dessiné par les enregistrements diffusés. Les silences entre les séquences, creux et ponctuations rythmiques, sont autant de cadres qui permettent au lieu, à tout ce qui n’est pas l’œuvre, de continuer à exister, de ne pas s’effacer.
L’œuvre Les ballons est une fiction, l’installation rejoue une simple anecdote : une personne tapant dans un ballon. Mais le ballon, se cognant fort aux murs et sonnant dans le vide, peut devenir aussi bien une figure de l’isolement, de l’entêtement que du jeu ou du plaisir à dialoguer avec un lieu.

extrait

extrait

hiuhuu

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EAC HEC, Jouy-en-Josas, 2016photos Stéphane Ruchaud


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Domaine Pommery, Reims, 2012photos Antoine Espinasseau


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gb agency, Paris, 2011photos Marc Domage


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abbaye de Maubuisson, 2009photos Catherine Brossais


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à propos

texte de Jean-Marc Huitorel, catalogue de l’exposition Une Forme olympique, Espace d’Art Contemporain, HEC Paris, 2017
captation vidéo exposition gb agency, réalisée par Éric Boutin et Dominique Petitgand, 2011
captation vidéo exposition abbaye de Maubuisson, réalisée par Julien Crépieux et Dominique Petitgand, 2009

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CD Le sens de la mesure

Le sens de la mesure
CD
1999

label Ici, d’ailleurs… IDA009
15 € + port
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Les heures creuses 

1.   Le sens de la mesure
2.   L’amorce des consignes
3.   Je descends
4.   1/79
5.   La chaleur
6.   Il s’est précipité
7.   Mur
8.   À l’étouffée
9.   Exhalaison
10. Une protection
11. La tête
12. Pont
13. De l’éther
14. Je marche
15. 1/2/3
16. Ce lointain
17. Il dormait
18. Il y a, ensuite
19. Son coin
20. Épuisement
21. Du mercurochrome

extrait

extrait 5. La chaleur

fff

pièces sonores de Dominique Petitgan


pièces sonores de Dominique Petitgand

musiques composées et interprétées par Dominique Petitgand
1992/1999

avec les voix de
Bénédicte Petitgand, Paoulo Riveros, Camille Auvy, Colin Auvy, Marie-Henriette Petitgand,
Liza Maria Riveros, Louise Goutin et Norbert 

avec la participation d’Antoine Carolus (19 : tuba / 21 : tzouras)
 
mastering : Uwe Tiechert
pochette et graphisme : Claude Lévêque (écriture Gilberte Lévêque)

(p) & (c) Dominique Petitgand / Ici, d’ailleurs… 1999


fff

à propos

–  texte de François Piron, article de presse Mouvement, avril 2000
texte de Steven Hearn, article de presse Octopus, février 2000
texte de Philippe Morrison, article de presse Magic, décembre 1999

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CD Le point de côté

Le point de côté
CD
2002

label Ici, d’ailleurs… IDA019
15 € + port
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Les heures creuses 

1.   Cette agitation
2.   Au ventre
3.   La rosée
4.   À portée de main
5.   Domicile
6.   Linge
7.   Plein air
8.   En tête
9.   Cet empêchement
10. Feu vert
11. Plomb
12. Les symptômes
13. Inciser
14. État liquide
 

extrait

extrait 4. À portée de main

fff

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pièces sonores de Dominique Petitgand

musiques composées et interprétées par Dominique Petitgand
2001

avec les voix de
Paoulo Riveros, Liza Maria Riveros, Bénédicte Petitgand et Dominique Ané
 
avec les participations de
Christine Ott (1, 4, 5, 7, 8, 10 : ondes Martenot, enregistrées par F. Lor), Marc Sens (4 : guitare),
Dominique Ané (8 : guitare) et Yann Tiersen (5 : soufflet)
 
mastering : Uwe Teichert
image pochette : Grégoire Alexandre
graphisme : Thomas Lélu et Dominique Petitgand
remerciements : Yann Tiersen et Dominique Ané avec l’aimable autorisation de Labels/Virgin,
Marc Sens avec l’aimable autorisation de Shambala Records

(p) & (c) Dominique Petitgand / Ici, d’ailleurs… 2001/2002


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à propos

texte de Bertrand Dicale, article de presse Le monde de la musique, septembre 2002
texte d’Olivier Lamm, article de presse chronicart.com, août 2002

texte de Jérôme Provencal article de presse Les Inrockuptibles, juillet 2002
texte de Renaud Paulik, article de presse Magic, octobre 2002

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CD Le bout de la langue

Le bout de la langue
CD
2006

label Ici, d’ailleurs… IDA032
15 € + port
pour commander : contact ou pour acheter directement en ligne

Les heures creuses 

1.   Le bout de la langue   
2.   Tôt
3.   Quelqu’étiquettes      
4.   La surdité
5.   La porte  
6.   La dispute
7.   La cécité  
8.   Par surprise
9.   La centrifugeuse
10. Une douleur spéciale
11. Fringale
12. La brosse à cheveux (muette)
13. Cette chanson
14. 6 + 1
15. Je m’endors
16. Présage
17. Au pied du lit
18. Extinction
19. Visite imprévue, zéro
20. La tamponneuse 
21. Bière
22. Soulagement / regret
23. Courants d’air
24. Au pied du lit (musique seule)


extrait 10. Une douleur spéciale

musiques composées et interprétées par Dominique Petitgand

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pièces sonores de Dominique Petitgand

musiques composées et interprétées par Dominique Petitgand
1992/2001

avec les voix de Bénédicte Petitgand, Marie-Henriette Petitgand, Colin Auvy,
Liza Maria Riveros,
Louise Goutin, Camille Auvy, Paoulo Riveros, George Caruzzo,
Marceau Rouselle, Monique Gobillot-Rousselle, François Gobillot, Edit Zakàl
et Jean Petitgand

 
avec les participations d’Antoine Carolus (5 : tzouras)
et de Jean-Pierre Viazzi (18 : enregistrement sirène)
 
mastering : F. Lor
image pochette : Christelle Chalumeaux
graphisme : Iconographik.com et Dominique Petitgand
 
1, 2, 15, 19 déjà parues sur la compilation Musique Action vol.2, Vand’Oeuvre, 1995
3, 16, 17, 18 déjà parues sur la compilation Hörspiele 2, La Muse en Circuit / Sacem, 1995
10, 11 déjà parues sur la compilation Ici d’ailleurs… vol.2, Sine Tera Firma, 1997

(p) & (c) Dominique Petitgand / Ici, d’ailleurs… 2001/2006


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à propos

texte de Jérôme Provencal, article de presse Les Inrockuptibles, 2 mai 2006

CD Mon possible

Mon possible
CD
2011

label Ici, d’ailleurs… IDA069
pour commander : Ici, d’ailleurs ou bandcamp

Les heures creuses 

1.   intro Comptable
2.   Itinéraire
3.   La chambre sourde
4.   Dehors
5.   L’impossible
6.   Quelqu’un
7.   L’air qui rentre
8.   La porte ne s’est pas ouverte
9.   Le tour du cadran
10. Qui s’abat
11. Pleine nuit
12. Moi, qui
13. Lalalamour
14. La chaise
15. J’ai changé

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extrait 12. Moi, qui

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pièces sonores de Dominique Petitgand
musiques composées et interprétées par Dominique Petitgand
2001/2011

1 : chant interprété et composé par Dominique Ané
12 : guitare interprétée et composée par Marc Sens
 
avec les voix de Dominique Ané, Liza Maria Riveros, Bénédicte Petitgand, Edit Zakàl,
Paoulo Riveros, Marie-Henriette Petitgand, Colin Auvy, Camille Auvy et Norbert
 
avec les participations de Christine Ott (4, 12, 14 : ondes Martenot, enregistrées par F. Lor en 2001),
Antoine Carolus (7 : violon, 8 : guitare, 15 : tzouras), Hervé Birolini (enregistrements 5 : sirène, 13 : fenêtre),
Yann Tiersen (3 : banjo et violoncelle), F. Lor (9 : guitare)
 
mastering : F. Lor
image pochette : Stéphanie Suter / L’Arsenic Lausanne
graphisme : Thibault Sellier et Dominique Petitgand
remerciements : Dominique Ané avec l’aimable autorisation de Cinq7

(p) & (c) Dominique Petitgand / Ici, d’ailleurs… 2011


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à propos

entretien radiophonique avec Aude Lavigne, émission La vignette, France Culture, entretien avec Aude Lavigne, 2011
texte d’Hervé Birolini, article de presse revue-et-corrigée.net, octobre 2011
texte de Lyonel Sasso, article de presse Magic, juillet 2011

fff 

De l’électricité dans l’air

De l’électricité dans l’air
installation sonore pour 18 haut-parleurs
2015

exposition personnelle Il y a les nuages qui avancent, CIAP, Île-de-Vassivière, 2015

Les heures creuses 


L’installation De l’électricité dans l’air se déploie dans deux espaces et met en relation deux couches sonores (proche et lointaine selon notre position) qui s’additionnent ou se répondent à distance.
Dans un premier grand espace, quatorze haut-parleurs massifs, posés au sol et orientés de façon irrégulière, diffusent à différents volumes (parfois fortement) des bruits hachés, des impacts, des stridences, des ondes, des vibrations. Des séquences brèves, sans cesse interrompues, qui perturbent le lieu par à-coups, ruptures et reprises. Une présence électrique, forte, massive, instable, provenant du sol.
Dans les silences, on perçoit dans le lointain, par-delà un couloir et des escaliers, des fragments des voix. Des voix sans texte, dans différents états, qui appellent, crient, chantent, retiennent leur respiration. Elles proviennent d’une salle à un autre étage et sont diffusées sur quatre haut-parleurs en hauteur fixés sur les côtés.
Cette présence vocale, aérienne, en apesanteur, elle aussi discontinue, entretient avec les sons électriques du premier espace (à l’étage inférieur) une relation physique et nerveuse. Les deux couches sonores se font entendre en se déplaçant d’un espace à l’autre, chacune alternativement, à proximité ou à distance. L’une déclenchant, stoppant, répondant ou accompagnant l’autre.

extrait

extrait

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photos Aurélien Mole


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à propos

texte d’Anne-Sophie Miclo, article de presse La belle revue, exposition CIAP, juin 2015, fr./angl.
texte de Majorie Micucci, article de presse poptronics.fr, exposition CIAP, juillet 2015
entretien vidéo École d’architecture de Nancy, exposition CIAP, 2015
entretien radio Chronique radiophonique n°12, Réseau Art contemporain en Limousin, exposition CIAP, 2015
entretien avec Marianne Lanavère, exposition CIAP, inédit, 2015

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Elle me parle

Elle me parle
interphone
2016

exposition Narrations des ordinaires, éditions extensibles, AU LIEU, Paris, 2021
exposition personnelle La voix en attente, gb agency, Paris, 2018
exposition personnelle L’élément déclencheur, gb agency, Paris, 2016

Les heures creuses 


Elle me parle est une oeuvre sonore qui se fait entendre sur un interphone fixé à mi-hauteur à un mur, à l’intérieur de la salle d’exposition. Elle se fait entendre à une proche distance lorsque l’on appuie sur le bouton en façade qui déclenche le son.
L’écoute dure tant que l’on garde le doigt appuyé et nous met en présence d’une femme, affairée, en pleine activité et en mouvement, qui nous parle. Cette voix s’adresse à nous depuis un autre espace, perçu à distance, et qui semble relié en temps réel.

extrait

extrait

hiuhuu

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1-2 AU LIEU, Paris, 2021 – photos Églantine Mercader / 3-4 gb agency, 2016 – photos Aurélien Mole


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à propos

texte de Marie Cantos, communiqué de presse gb agency, 2016, fr./angl.

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La fréquence du secteur

La fréquence du secteur
installation sonore pour 7 haut-parleurs
2017

exposition personnelle La fréquence du secteur, La Compagnie, Marseille, 2017

Les heures creuses 


La fréquence du secteur met en présence plusieurs séquences, imbriquées les unes dans les autres, extraites d’oeuvres issues de l’ensemble au titre générique Les liens invisibles (Quant-à-soi, La main coupée, Proche, très proche, Les liens en sourdine, Une partie de toi et Les liens invisibles).
Sept haut-parleurs sont répartis dans les espaces de la galerie (l’espace principal, l’annexe, la mezzanine et le sous-sol), à différentes hauteurs et selon différents modes d’apparition (à hauteur d’oreille, au sol, en plein vue ou cachés). Ces haut-parleurs diffusent, de façon différenciée, trois types de sons : la voix principale, claire et intelligible (une femme qui monologue et s’interroge sur les liens invisibles), les bruits (perturbations électriques, distorsions, vibrations, ondes, éclats ou gestes) et les autres voix indéterminées et inintelligibles (cris, chants ou harangues).
Les différentes séquences mettent en présence une série de duos composés, d’une part, de la voix principale (pivot central et invariable de l’exposition) et, d’autre part, des autres sons et voix, en satellite. Deux types de relation définissent ces séquences en binômes : le synchronisme (chaque fragment de parole comme un décalque exact de son équivalent bruité ou chaque bruit en imitation exacte des phrases – doublons associés étroitement au montage, dissociés et mis à distance dans l’exposition) ou le décalage en ping-pong (dialogues à distance en questions/réponses ou effet perroquet).
Le montage global, entrecoupé de silences, sans début ni fin, ni durée aisément perceptible, questionne les liens, les similitudes et les mimétismes entre les différentes sources sonores s’accompagnant ou se cognant à distance, se joue des associations et des dissociations, des fausses répétitions, des variations et des reprises.

extrait

extrait

hiuhuu

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photos Matthieu Mangaretto


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à propos

texte de Paul-Emmanuel Odin, La Compagnie, Marseille, 2017
– texte de Dominique Petitgand, livre Les liens invisibles, CIAP, Île-de-Vassivière, 2015, fr./angl.

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