Catégorie : Non classé

livre La gorge sèche

La gorge sèche (documents)
livre
2004

publié à l’occasion de l’exposition personnelle, assocation à table ! Boulogne-sur-Mer
7 € + port
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Les heures creuses 

français
livre de 28 pages
14,5 x 21 cm


notes et transcriptions de Dominique Petitgand
“Dialogue de sourds”, texte de Guillaume Désanges
dessins d’Amélie Codugnella
graphisme d’Amélie Codugnella et Dominique Petitgand

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extrait

dessins d’Amélie Codugnella / notes D.P.

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extrait

livre Les pièces manquantes

Les pièces manquantes / The missing pieces
livre
2007

publié à l’occasion de l’exposition personnelle, EMBA-galerie Manet, Gennevilliers
7 € + port
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Les heures creuses 

bilingue français/anglais
24 pages
14,5 x 21 cm
sélection de 8 textes

textes de Dominique Petitgand
traduction en anglais de John Tittensor
graphisme d’Olivier Larcher et Dominique Petitgand

ISBN : 978-2-9519329-1-3

Les pièces sonores que je n’ai pu créer ou voulu faire. Enregistrements empêchés, montages impossibles, envisagés un temps, jusqu’au renoncement. Pour chaque pièce manquante, quelque chose qui coince (circonstances, inaptitude ou conviction).


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I pezzi mancanti
livre
2023

italien
publié par leppi lampi labors, Turin
édition limitée de 30 exemplaires
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16 pages
13x19cm
sélection de 7 textes 

traduction en italien par Giuseppe Furghieri et Carlo Fossati
avec une photographie de Carlo Fossati

Cette publication est un écho à la présentation d’une sélection des textes 
lors de l’exposition Con voci e senza à la galerie e/static à Turin en 2006.


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à propos

– entretien avec Pierre Bal-Blanc, 2008, publication catalogue Reversibility, Mousse Publishing, 2013, fr./angl.

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livre Installations (documents)

Installations (documents)
livre
2009

publié à l’occasion de l’exposition personnelle Quelqu’un est tombé, abbaye de Maubuisson, 2009
éditions MF
20 € + port
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Les heures creuses 

bilingue français/anglais
livre de 240 pages
22 x 17 cm

croquis, notices, transcriptions et notes de Dominique Petitgand
entretiens Dominique Petitgand avec Vanessa Desclaux, Élodie Royer et Yoann Gourmel, Guillaume Constantin, Marinella Paderni  
traduction en anglais de Jean-Charles Beaumont, Miles Hankin, Chet Wiener
photographies en couleur
graphisme de Elie Kongs et Dominique Petitgand

co-édition abbaye de Maubuisson/FRAC Normandie/FRAC Lorraine/Confort Moderne
distribution Pollen
ISBN : 978-2-9157-9441-0

Cet ouvrage monographique consacré aux installations sonores de Dominique Petitgand à travers un ensemble sélectif de 1994 à 2009 – est une tentative de documentation par l’artiste lui-même de sa pratique de l’écoute et de création sonore. Différentes formes de représentation (croquis, vues d’expositions, notices, images-textes, transcriptions) accompagnent un choix d’entretiens et de notes.

extrait

extrait

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livre Sommeil léger

Sommeil léger
livre
2014

édition Le Gac Press
collection écrits/faux raccord dirigée par Judith Abensour et Thomas Bauer
6 € + port
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Les heures creuses 

français
livre de 80 pages
format 10 x 15 cm

transcriptions, notes et textes de Dominique Petitgand
présentation de Judith Abensour
graphisme de Christophe Le Gac et Dominique Petitgand

co-édition EPCC ESBA TALM site d’Angers
distribution Les Belles Lettres
ISBN : 978-2-36409-053-8

Le matériau textuel de Sommeil léger est comparable à celui qui figure dans les différents catalogues de Dominique Petitgand, mais l’écriture acquiert ici une autonomie.
Elle s’émancipe de sa fonction documentaire vis-à-vis du travail plastique : les transcriptions de pièces sonores, les notices d’installations, les voix, les notes ou les textes diffusés sur écrans donnent lieu à un processus singulier et spécifique de montage et de mise en page. Si les séquences filmiques sans images ou les paysages mentaux de Dominique Petitgand peuvent être adaptés à plusieurs modes de diffusion sonores (disque, radio, concert, installation), son travail ne s’est encore jamais aussi librement déployé dans l’espace du livre.
  

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extraits


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à propos

émission radiophonique Si je perdais mes oreilles je deviendrais aveugle, Vizir Radio, par Marie Limoujoux, 2020
entretien radiophonique avec Thomas Baumgartner, L’atelier du son, France Culture, 2014

texte de Pascal Mouneyres, article de presse syntone.fr, novembre 2014

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livre Les liens invisibles

Les liens invisibles / The invisible links
livre (avec CD audio)
2015

publié à l’occasion de l’exposition personnelle Il y a les nuages qui avancent
par le Centre International d’Art et de Paysage, Île-de-Vassivière
10 € + port (CD offert)
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Les heures creuses 

bilingue français/anglais
livret de 36 pages
24 x 18 cm

transcription manuscrite et texte de Dominique Petitgand  
traduction en anglais de Miles Hankin, John Tittensor
graphisme d’Adrien Aymard et Dominique Petitgand

ISBN : 978-2-910850-62-3

Pour son exposition à Vassivière, Dominique Petitgand signe une édition originale autour d’une série d’œuvres intitulée Les liens invisibles, contenant un texte inédit sur l’origine et l’évolution de ce travail. Tout au long des pages, les fragments manuscrits d’une phrase issus d’une voix – matériau principal des installations sonores en question – sont placés au dessus du texte, créant des variations dans le rythme de lecture qui rappellent ainsi les jeux de montage de ses nombreuses œuvres.

L’édition est complétée par un CD offert pour lequel l’artiste a réalisé une composition inédite à partir des extraits des œuvres évoquées dans son texte.



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extraits

extrait

Mes écoutes

Mes écoutes
2017

version vidéo
exposition personnelle La distance abolie, Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2022
exposition personnelle Documentation éparpillée, EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2018

exposition Où sont les sons ?, Centrale for contemporary art, Bruxelles, 2017 (cur. Nicole Gingras)
exposition Brouhaha, Le Granit, Belfort, 2017 (cur. Mickaël Roy)
Festival Musique Action, CCAM-Scène Nationale, Vandoeuvre-lès-Nancy, 2016
exposition personnelle Il y a les nuages qui avancent, CIAP, Île-de-Vassivière, 2015
exposition personnelle L’oreille interne, gb agency, Paris, 2013

version papier
exposition Ellipse, galerie Circuit, Lausanne, 2019

exposition personnelle Le fil conducteur, gb agency, Paris, 2017
exposition personnelle La fréquence du secteur, La Compagnie, Marseille, 2017 (cur. Paul-Emmanuel Odin)

extrait

version vidéo

Mes écoutes
est une œuvre muette en boucle.
Accroché au mur, un écran vidéo diffuse les uns après les autres, le temps nécessaire à la lecture de chacun, une suite de 152 textes courts, en lettres blanches sur fond noir.
Il s’agit d’un projet que j’ai commencé en 2004, l’ensemble exposé est la version la plus récente à ce jour, 152 textes d’un projet en cours. Chaque texte décrit comment dans ma propre vie j’écoute. Je suis l’auditeur qui dit je : un événement miraculeux, une anomalie, un comportement habituel, un souvenir, un état.
Il s’agit de décrire le plus simplement et précisément possible une situation d’écoute. Une situation dans laquelle le lieu, l’instant, la disposition mentale ou physique de la personne qui écoute, importent autant, sinon plus, que la description du son lui-même (je postule le son non représentable et déplace la réflexion sur ses effets et sa réception). Une situation pour laquelle je n’essaye pas d’être exhaustif mais où je peux me concentrer sur un point de détail, et qui parfois reste bloquée sur une interrogation.
Chaque texte comporte un titre, est autonome et en même temps partie constituante d’un tout. C’est toujours ainsi que je procède : je fabrique des miniatures dont je pense en même temps l’autonomie et la place qu’elles peuvent occuper dans un ensemble. Un tout qui se constitue au fil des années, par addition, capillarité et sans plan préalable.
Cette présentation de longue durée sur écran apparaît sans début ni fin, et propose, à la différence des installations sonores qui requièrent une écoute mobile, une lecture immobile sur un banc.

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1 EMBA-Manet, Gennevilliers, 2018 – photo Margot Montigny / 2 La Centrale, Bruxelles, 2017 – Philippe de Gobert / 3 CIAP Vassivière, 2015 – Aurélien Mole / 4 gb agency, 2013 –  Marc Domage


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version papier

Chacun des 152 textes est imprimé sur une feuille A4 et l’ensemble forme une pile, sans attaches, posée à plat sur une table ou un présentoir, et en consultation libre.

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1 galerie Circuit, Lausanne, 2019 – photo (recadrée) David Gagnebin-de Bons / 2 gb agency, 2017 – Aurélien Mole / 2-3 La Compagnie, Marseille, 2017 – Mathieu Mangaretto


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extraits version vidéo

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à propos

entretien avec Églantine Mercader, exposition Le fil conducteur, gb agency, Paris, 2017, fr./angl.
entretien avec Jérôme Noetinger, magazine Revue & Corrigée n°73, 2007


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extraits publiés dans livres, catalogues ou revues

livre Mes écoutes, Éditions B42, 2022 (édition complète)
– livre Une idée du Nord de Pascale Cassagnau, Beaux-Arts de Paris éditions, 2015
– livre Sommeil léger, co-édition EPCC ESBA TALM site d’Angers/Le Gac Press, 2014
livre La tentation du son, direction Kaye Mortley, Phonurgia Nova éditions, 2013

revue Le Quai n°15, École Supérieure d’Art de Mulhouse, 2008
catalogue de l’exposition Small Various Fire, Royal College of Art, Londres, 2007, angl.
Revue & Corrigée n°72, 2007
– Revue & Corrigée n°71, 2007
Revue & Corrigée n°70, 2007
 Revue & Corrigée n°69, 2007

Journal des Laboratoires d’Aubervilliers – Special Issue, 2007, angl.
Journal des Laboratoires d’Aubervilliers, 2006

Au pied du lit

Au pied du lit
installation sonore pour 5 haut-parleurs
1996

exposition personnelle Petites compositions familiales, Phonurgia Nova, Arles, 1996

Les heures creuses 

Dans cinq pièces (la cuisine, les chambres, le grenier) d’une maison quasiment vide de plusieurs étages et plongée dans l’obscurité, des lecteurs de disques portables sont posés, sur une chaise, une table, une table de nuit.
Sur chaque lecteur, une suite de pièces sonores en version stéréo.
Les portes ouvertes font entendre dans l’escalier et sur les paliers le mixage des différentes sources.

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photos Alain Potoski

Quelqu’un est tombé

Quelqu’un est tombé
installation sonore pour 6 haut-parleurs
2009

exposition personnelle Quelqu’un est tombé, abbaye de Maubuisson, Saint-Ouen-l’Aumône, 2009
(avec la collaboration de Christelle Chalumeaux, scénographie du troisième espace)

Les heures creuses 

L’installation Quelqu’un est tombé occupe trois salles, se jouant de leur contiguïté, de leurs natures et de leurs acoustiques respectives. Un récit se construit couche par couche et se déplie à la mesure des trois espaces.
Dans la première grande salle, à l’acoustique très résonante, quatre haut-parleurs en hauteur, fixés de part et d’autre des colonnes, diffusent une série de sons brefs (éclats, stridences) entrecoupés de silences. Dans le petit sas intermédiaire, lui aussi très résonant, un haut-parleur au sol, tourné contre le mur, diffuse des flux instrumentaux, souffles et vibrations sourdes, séquences longues et tendues, perçues comme une sous-couche au-delà.
Enfin, troisième strate de l’installation, dans la dernière salle, transformée pour l’occasion en un espace particulièrement feutré (moquette au sol et isolation aux murs), comme un écrin pour les paroles, un haut-parleur sur socle diffuse des voix. Cet haut-parleur est en position d’indirect : il faut parcourir l’espace et se retourner pour y faire face. Le contraste acoustique de cet espace feutré nous permet de faire ici l’addition des couches sonores provenant des trois espaces contigus : les éclats résonants, le flux musical, les paroles.
Le récit se fait jour, des figures se détachent sur un fond, des liens se dévoilent. Une femme nous annonce que quelqu’un est tombé, un enfant décrit un paysage fragmenté, un autre marche, trébuche et tombe sans fin.

extrait

extrait

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photos Catherine Brossais / 5 scénographie isolation phonique Christelle Chalumeaux


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document

carton d’invitation – graphisme Jocelyne Fracheboud et D.P.  à partir d’une photo de Christelle Chalumeaux


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à propos

captation vidéo exposition abbaye de Maubuisson, réalisée par Julien Crépieux et Dominique Petitgand, 2009
entretien radiophonique Un artiste à l’écoute, ARTE Radio, par Sara Monimart, 2009
reportage radiophonique Pop’ son, poptronics.fr, réalisation Jean-Philippe Renoult, 2009
texte d’Emma Lavigne, livre Qu’est-ce que l‘art aujourd’hui ?, Beaux-Arts éditions, 2009

texte de Lillian Davies, New York, article de presse Artforum, été 2009, angl.
texte de Marinella Paderni, article de presse Arte e Critica n°51, Rome, 2009, it./angl.
texte de Rahma Khazam, article de presse Flash Art International, Milan, mai 2009, angl.
texte de Anne-Lou Vicente, article de presse mouvement.net, avril 2009
texte de Michelle Debat, article de presse lacritique.org, avril 2009
texte d’ Emmanuelle Lequeux, article de presse Beaux-Arts Mag., mars 2009
entretien avec Frédéric Bonnet, Le Journal des Arts n°301, 2009

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Le ventriloque

Le ventriloque
installation sonore pour 8 haut-parleurs
2011

exposition personnelle Le ventriloque, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, galerie Michel Journiac, Paris,  2011

Les heures creuses 


Le ventriloque est une oeuvre composite.
Je découpe la galerie en cinq parties, une plus quatre.
La première partie, c’est le sas après l’entrée : lieu pour une documentation (éditions, textes, entretiens radio et vidéo), avant d’entrer dans l’installation proprement dite.
La deuxième partie, après le rideau protecteur, c’est la grande et résonante salle au poteau, au sol en marbre. Plusieurs haut-parleurs par terre pour des atmosphères musicales, quelques flux sonores, des bruits (de fermetures et d’ouvertures) et toutes les réverbérations produites par le lieu. La troisième partie, c’est la petite salle intermédiaire, sombre et vide. Elle ne sert qu’à mettre de la distance entre la grande salle et les voix. Ce vide joue le même rôle que le silence dans les montages. 
L’espace des paroles, le ventriloque, c’est la quatrième partie : la vitrine, derrière la porte entrouverte. Plusieurs voix qui proviennent d’un espace qu’on ne peut qu’entrapercevoir (sauf depuis la rue). Ces voix donnent accès aux récits. Elles sont comme un premier plan inversé, des figures qui flottent au-dessus des sons précédents (à présent perçus légèrement à distance). Enfin, la cinquième partie, tout à fait cachée, est l’espace inaccessible de la réserve, pour d’autres voix sans texte (appels, cris, chantonnements) derrière les murs.
Plusieurs séquences, entrecoupées de silences, se succèdent, mixant tour à tour, selon le moment et l’endroit où l’on se trouve, les musiques avec ou sans les bruits, avec ou sans les voix.

Pour la diffusion des sons, je décide d’utiliser et de laisser par terre, à vue et en évidence, tout le matériel trouvé et emprunté dans les divers services de l’Université : lecteurs portables, mini chaînes et haut-parleurs dépareillés.

extrait

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photos Ghislaine Périchet


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à propos

texte d’Alexandra Delage, communiqué de presse de l’exposition, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2011
vidéo de Ghislaine Perichet, Une présence à l’œuvre, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2011

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Un lien invisible

Un lien invisible
installation sonore pour 7 haut-parleurs
2007

exposition personnelle Les liens invisibles, EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2007 (cur. Lionel Balouin)

L’installation Un lien invisible prend place dans trois salles contiguës, ouvertes les unes aux autres.
Dans chacun des trois espaces, un haut-parleur sur socle diffuse les fragments d’une voix : une longue phrase scindée, éclatée en trois unités (trois points localisés dans l’espace, trois plans sonores qui se détachent et s’étagent en proche ou lointain selon notre position) et dont le sens se poursuit par rebond d’un point à l’autre.
En alternance aux séquences parlées, aux différents coins du lieu, délimitant un carré (si l’on réfère au plan d’ensemble de la galerie), quatre haut-parleurs au sol diffusent des atmosphères musicales et sonores emplissant par bouffées tout le lieu.

extrait

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photos Laurent Lecat


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à propos

texte de Magali Lesauvage, article de presse paris-art.com, octobre 2007

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