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en ligne La voix mobile

La voix mobile
création radiophonique en binaural
2018

1 heure
Atelier de Création Radiophonique – Création on air, France Culture
mise en ligne le 1 mars 2018
pour écouter (de préférence au casque)

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La voix mobile est une recréation à l’échelle du studio de quelques unes des installations sonores que je réalise depuis plusieurs années, avec des voix, des bruits, quelques éléments musicaux et des silences.
Elle est ponctuée par un entretien avec Irène Omélianenko et a été composée comme une œuvre en soi, enregistrée et diffusée en binaural (à écouter de préférence au casque pour percevoir les effets de mises en espace).
Plusieurs voix anonymes, de différents âges, chacune dans son quant-à-soi, plusieurs états de la parole (hachée, suspendue ou relâchée) ou de simples présences (respirations, exhalaisons, sifflements), qui creusent le vide, habitent l’espace, se racontent et font une tentative, du plus lointain au plus proche, pour atteindre notre intimité, notre pensée. Cette création rend palpable un ensemble de situations d’écoute désorientées dans lesquelles les voix, les bruits et les éléments musicaux se lient, s’additionnent ou interagissent à distance pour construire un long récit ouvert et éclaté. Elle déploie une géographie miniature de gestes vocaux, de jeux de langage, de mots en éclats, de monologues, de dialogues à distance, de mélodies en pointillé, de courants d’air et de brèves ouvertures sur l’extérieur. Et le silence, motif récurrent, joue son rôle de suspension, de trait d’union et de respiration.

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réalisé en janvier 2018, à partir d’installations sonores et de musiques à l’origine composées et interprétées entre 1997 et 2017

avec les voix de Bénédicte Petitgand, Liza Maria Riveros, Dominique Ané, Paoulo Riveros, Colin Auvy, Camille Auvy, Marie-Henriette Petitgand et d’Irène Omélianenko (pour l’entretien) et avec les participations de Christine Ott aux Ondes Martenot et d’Antoine Carolus à la guitare et au violon

prise de son entretien : Clémence Bonfils
prise de son studio en binaural et mixage : Delphine Baudet
réalisation radio : Nathalie Salles
coordination : Irène Omélianenko

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différentes configurations des 8 haut-parleurs lors des enregistrements studio en binaural – photos D.P.

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en ligne La question est posée

La question est posée
création radiophonique
2019/2020

15’41 minutes
ARTE Radio
mise en ligne le 16 janvier 2020
pour écouter 

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J’ai toujours travaillé avec des voix que j’enregistre moi-même, des personnes que je connais ou rencontre, mais cette fois-ci – à la suite d’une proposition de Guillaume Désanges et François Piron pour l’exposition Contre-vents qui s’est tenue au Grand Café à Saint-Nazaire en 2019 – je suis parti de voix que je ne connaissais pas, loin de moi, mais qui me sont devenues proches par l’écoute, par ce que j’ai éprouvé en les écoutant.
Un certain nombre de films ont documenté dans les années 70 les luttes paysannes, ouvrières et étudiantes, et dans ces documents, il y a surtout (j’y ai surtout entendu) des voix : des personnes qui parlent, témoignent, haranguent la foule, hurlent, slogantent et parfois même pleurent. Ces voix, individuelles ou collectives, nues ou au mégaphone, possèdent une émotion, une tension, une charge, qui nous parlent aujourd’hui.
J’ai fait une composition avec quelques fragments de ces voix, en les isolant en partie de leur contexte, en mélangeant les époques, les lieux, les situations, en créant entre elles des liens, des rebonds, des rythmes, des ruptures, des vides, pour un collage vocal, bruitiste, affectif et musical qui compose une figure suggestive et intemporelle de la lutte.

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composition, montage et musique de Dominique Petitgand

avec la participation de Christine Ott aux Ondes Martenot (enregistrées en 2001 par F.Lor)

avec les extraits sonores des films de Soazig Chappedelaine et René Vautier (Quand les femmes ont pris la colère – 1977), Armand Gatti (Le baille, le train, la moëre – 1976), Danièle Jaeggi (C’est tout pour nous et vous – 1974), Nicole Le Garrec (Plogoff, des pierres contre des fusils – 1980), Nicole Le Garrec et René Vautier (Quand tu disais Valery – 1975), Jean-Louis Le Tacon (Voici la colère bretonne : la grève du Joint Français – 1972, Bretonneries pour Kodakrome – 1974, La Marche au Larzac vue d’un oeil breton – 1975), Carole Roussopoulos (Les travailleuses de la mer – 1985), René Vautier (Marée noire et colère rouge – 1978), et d’un enregistrement de Bruno Serralongue à Notre-dame-des-Landes – 2016.

remerciements aux cinéastes et artistes, à François Piron, Guillaume Désanges et Clément Raveu

photo Martin Barzilai / Haytham Pictures

en ligne Parenthèses

Parenthèses
1. Je m’en vais – 2. Je me lève – 3. Revenir, revenir
cycle de 3 pièces sonores
2020

3 x 30 minutes
première diffusion: site web du T2G-Théâtre de Gennevilliers, 2020

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À l’origine, ces trois compositions sonores et musicales ont été réalisées pour être mises en ligne entre mars et mai 2020 afin de proposer une écoute domestique.
Chacune de ces parenthèses désosse, imbrique et réaménage plusieurs pièces, anciennes ou récentes, pour un long récit inédit.




1 – Je m’en vais
27’00

avec les voix de Liza Maria Riveros, Dominique Ané, Camille Auvy,
Marie-Henriette Petitgand et Norbert
avec la participation d’Hervé Birolini (enregistrements porte et fenêtre)
et la présence amicale de Stéphanie Ditche



2 – Je me lève
27’39

avec les voix de Colin Auvy, Marie-Henriette Petitgand, Dominique Ané,
Liza Maria Riveros, Louise Goutin et Camille Auvy
avec la participation de Christine Ott aux Ondes Martenot (enregistrées
en 2001 par F.Lor)


extrait

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3 – Revenir, revenir
28’20

avec les voix de Liza Maria Riveros, Paoulo Riveros, Bénédicte Petitgand, Marie-Henriette Petitgand et Louise Goutin
avec les participations d’Antoine Carolus au Tuba et à la corde électrifiée,
de Marc Sens à la guitare (séquence finale) et le chant de Lys Gauty

 

extrait

ephemera

ephemera
documents, éditions papier
1992/…

exposition personnelle La distance abolie, Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2022
exposition personnelle Documentation éparpillée, EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2018

exposition personnelle La voix en attente, gb agency, Paris, 2018
exposition Poésie Balistique, Fondation Hermès – La Verrière, Bruxelles, 2016 (cur. Guillaume Désanges)
exposition personnelle Il y a les nuages qui avancent, CIAP, Île-de-Vassivière, 2015
exposition personnelle La tête la première, FRAC Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen, 2009
exposition personnelle Quelqu’un est tombé, abbaye de Maubuisson, Saint-Ouen-l’Aumône, 2009

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Les paroles sont la matière première de mes pièces sonores, d’autres écrits périphériques viennent compléter ce corpus. Tous ces mots, une fois transcrits, manuscrits ou typographiés, deviennent un matériau potentiel pour des visuels, des éléments de communication et des éditions papier.
Lors de certaines expositions, lorsqu’il est possible d’utiliser un espace documentaire en annexe à côté des installations, je réalise une composition à partir de ce fonds constitué au fil des années de différentes éditions papier (ephemera, cartes postales, cartons d’invitation, affiches, interventions dans les journaux, pochettes de disques, images-mots et autres éléments de communication). Composition posée à plat sur une table et sous vitre, arrangée et combinée selon le format, le modes d’apparition des mots, le récit, la couleur…
Cette présentation n’a pas le statut d’une œuvre mais d’un archivage, d’une fantaisie documentaire. Elle se renouvelle à chaque occasion, s’enrichit de nouveaux apports et de nouvelles combinaisons.

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EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2018 – photo Margot Montigny


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Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2022 – photos D.P.


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gb agency, Paris, 2018 – photos D.P.


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Fondation Hermès – La Verrière, Bruxelles, 2016 – photos Isabelle Arthuis


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CIAP, Île-de-Vassivière, 2015 – photos Aurélien Mole

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Le fil conducteur (pages)

Le fil conducteur (pages)
série de 41 pages d’écriture
2018

éditions multiples à 41 x 10 exemplaires (numérotés et signés)
format A4
chaque page vendue séparément 
pour commander : contact
70 € la page + port
liste des éditions disponibles sur demande

exposition La voix en attente, gb agency, Paris, 2018

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Au mur, un chemin de feuilles au format A4.
Les écritures raturées au centre des pages blanches sont une version papier de l’installation sonore Le fil conducteur.
Dans sa version sonore, l’œuvre met en relation deux couches sonores :
une voix éparpillée dans l’espace et des fréquences électriques qui interagissent avec elle en en censurant et remplaçant certains mots. 
Ces écritures sur papier incarnent visuellement une transcription fragmentaire et graphique des paroles censurées. Séquence par séquence, feuille par feuille, le récit trouve son incarnation manuscrite
Ces écritures sur papier incarnent, page après page, une transcription fragmentaire et graphique des paroles censurées de la pièce sonore. Séquence par séquence, feuille par feuille, le récit trouve son incarnation manuscrite par le mystère des absences : certains mots laissés libres, d’autres raturés, rendus illisibles.

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photos 1 Aurélien Mole / 2-3 D.P.

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  # 1                                                                                                                                                        # 17

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  # 30                                                                                                                                                        # 39

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La voix en attente

La voix en attente
documents en consultation
1992/2018

exposition personnelle La voix en attente, gb agency, Paris, 2018

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Différents documents sont en consultation.
Dans un espace de type salon d’écoute, au casque : Diffusion presqu’intégrale. Aux murs : interphone Elle me parle, pages d’écritures Le fil conducteur, vidéo (sans le son) des sous-titres de la traduction en anglais et en grec de la pièce À la merci.
Sur une table sous vitre : publications spéciales, extraits du livre Sommeil léger et Éphéméras.

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photos 1 et 3-6 Aurélien Mole / 2 et 7-9 D.P.


At the mercy (Στο έλεος) – version muette avec traduction en anglais et en grec

Documentation éparpillée

documentation éparpillée
éditions et documents en consultation
1992/2022

exposition personnelle La distance abolie, Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2022
exposition personnelle Documentation éparpillée, EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2018

exposition personnelle Il y a les nuages qui avancent, CIAP, Île-de-Vassivière, 2015
exposition personnelle, gb agency, Paris, 2001

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Différents documents sont en consultation :
vidéo Mes écoutes, édition multiple Les voix blanches (map), publications spéciales, Éphéméras, catalogues, classeurs de textes et d’articles de presse, tampons encreurs, entretiens en écoute au casque…
Toute une documentation dispersée aux quatre coins d’un lieu (accueil, médiathèque, palier, vitrine) ou réunie dans un espace annexe, en parallèle à une exposition personnelle.

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Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2022 – photos D.P.


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EMBA-galerie Manet, Gennevilliers, 2018 – photos Margot Montigny


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CIAP, Île-de-Vassivière, 2015 – photos Aurélien Mole


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gb agency, Paris, 2001 – photos Marc Domage

La tête la première

La tête la première
installation sonore pour 10 haut-parleurs
2009

exposition personnelle La tête la première, FRAC Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen, 2009

 

Les heures creuses 

L’installation La tête la première est une oeuvre composite qui occupe un bâtiment dans son entier, quasiment d’un seul tenant et sur deux niveaux : le premier étage tient lieu de coursive et les ouvertures n’offrent pas de limite à la diffusion des sons.
Les dix haut-parleurs sont répartis dans tous les espaces et sur les deux niveaux et diffusent un ensemble de pièces.
Les voix trouvent refuge dans une petite salle du rez-de-chaussée plongée dans le noir, et sur la passerelle à l’étage : haut-parleurs à hauteur d’oreille. Les autres sons (cris – chants, souffles, sifflements, chocs, fréquence, pulsation,  choeur suspendu) sont, eux, répartis comme s’ils étaient des émanations de l’architecture elle-même : au sol, tout en haut sur les poutres (voûte sous le toit), sous l’escalier ou derrière un mur.
L’installation distribue une panoplie d’éléments sonores d’un tout à reconstituer. Elle ne possède pas de centre, n’utilise pas tous les haut-parleurs à la fois, joue avec les distances, connecte proches et lointains. Elle est composée de plusieurs pièces sonores et de silences, mettant en relation certaines des différentes parties, sur un mode de relation propre à chaque séquence. Parfois une voix se fait entendre seule ou entame un dialogue à distance avec une autre. Parfois un son, ou un élément musical, d’un bout à l’autre du bâtiment, accompagne une voix, d’autre fois, l’amplifie, la manipule ou la relativise.

extrait

extrait

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photos Marc Domage


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à propos

vidéo de Ghislaine Perichet, Une présence à l’œuvre, FRAC Haute-Normandie, 2009
entretien avec Marc Donnadieu, FRAC Haute-Normandie, 2009
texte d’Anne-Lou Vicente, article de presse mouvement.net, avril 2009
texte de Michelle Debat, article de presse lacritique.org, avril 2009
texte de Rahma Khazam, Milan, article de presse Flash Art International, mai 2009, angl.

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La cécité

La cécité
installation sonore pour 5 haut-parleurs
1997

exposition ON/OFF, FRAC Lorraine, Metz, 2007

La cécité (Blindness) – version avec sous-titres anglais
exposition personnelle, MUHKA, Anvers, 2006

 

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L’installation La cécité occupe un espace d’un seul tenant, en longueur, ne possédant qu’une entrée et plongé dans le noir et nous propose de vivre une expérience proche de celle qui nous est narrée : le passage de l’obscurité à la lumière.
L’entrée de l’espace est laissée ouverte pour permettre à la lumière d’éclairer les premiers mètres, puis de nous signifier, lorsqu’après avoir accédé au noir nous nous retournerons, où se trouvera la sortie. Dans le fond de l’espace – noir opaque et puits sans fond – un haut-parleur fixé à hauteur d’oreille et orienté vers l’entrée, diffuse une voix. Une femme nous délivre les différentes étapes d’un parcours dans le noir, le lent cheminement puis la sortie de l’obscurité à la lumière, de l’isolement total au retour rassurant parmi les autres. Sur les côtés, quatre haut-parleurs au sol diffusent une atmosphère sonore englobante : une vibration sourde et cotonneuse qui accompagne la lente progression aveugle puis le brouhaha collectif clair et cinglant qui annonce le retour à la lumière.

extrait

extrait

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FRAC Lorraine, Metz, 2006 – photos Rémi Villaggi


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version avec sous-titres
 
La cécité (Blindness). À l’extérieur et en pleine lumière, agissant comme une préfiguration ou une remémoration du récit, un écran diffuse la traduction (en anglais) synchrone des paroles (en français) entendues à l’intérieur. Traduction en anglais de Chet Wiener.

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à propos

texte de Lisa Christ, Revue RadaR 9, Université de Strasbourg, 2024
texte de Dominique Petitgand, Revue Les Carnets de Syntone n°2, 2015
texte de Térésa Faucon, Images contemporaines – Arts, formes, dispositifs, livre, dir. Luc Vancheri, Aléas Cinéma, 2009
texte de Guillaume Désanges, catalogue de l’exposition ON/OFF, FRAC Lorraine, 2006, fr./all.

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Presqu’intégrale

Diffusion presqu’intégrale
performance sonore pour 2 haut-parleurs
1992/2015

pour une salle de spectacle, de concert ou tout autre lieu
durée 4 heures

dans le cadre de Récits & Paysages, Le Pavillon, Cinéma 104, Pantin, 2011
La Compagnie, Marseille, 2006
Festival Musique Action, CCAM-Scène Nationale, Vandoeuvre-lès-Nancy, 2004
Les Laboratoires d’Aubervilliers, 2003

version pour salon d’écoute
exposition personnelle La voix en attente, gb agency, Paris, 2018
exposition personnelle, Level One, gb agency, paris, 2015

Les heures creuses 

version pour salle de spectacle ou de concert

Je me suis toujours tenu de proposer des performances – séances d’écoute de courtes durées, ne dépassant pas les 45 minutes. La Diffusion presqu’intégrale, d’une durée de 4 heures, est une exception et une expérience : il s’agit pour une fois d’écouter dans sa quasi totalité – en version stéréo, dans un montage non chronologique, suivant un fil narratif et structuré par les silences – l’ensemble des pièces courtes que je réalise depuis plusieurs années. Toutes ces pièces sont issues d’un même matériau (principalement les voix) et des mêmes procédures d’enregistrement et de montage, même si chacune, par son titre, sa durée, mais aussi ses enjeux conceptuels, narratifs et formels propres, se révèle être autonome et singulière.
Ce qui motive cette proposition, outre son aspect rétrospectif, est peut-être ce que produisent la réunion et l’insistance, dans un même espace et sur une longue durée, des mêmes voix, des mêmes sons et atmosphères musicales.
Ces éléments découpés, dépliés, mis de côté puis repris, prennent l’allure d’un long récit ouvert, obsessionnel et complexe, aux multiples couches, perspectives et épanchements. La présence des voix comme guide, les paroles et les silences à jeu égal.
Pour assouplir la monumentalité de la proposition, la salle est plongée dans une pénombre aménagée permettant aux personnes qui ne souhaitent écouter qu’une portion de la diffusion (ce qui est possible compte tenu de son aspect fragmentaire), d’entrer et de sortir sans gêner les autres, nous laissant libre de choisir la durée de notre écoute.


version pour salon d’écoute

Dans une salle d’exposition, l’espace d’écoute est désigné
par une surface feutrée au sol et une assise munie de casques.

gb agency, Paris, 1-3 2015 / 4 2018photos Aurélien Mole



liste des pièces
1992/2015

1.    violon seul
2.    Tu es privé de tout ce que tu aimes
3.    intro Comptable
4.    Cette agitation
5.    Le sens de la mesure
6.    Certaines responsabilités
7.    Toujours, toujours
8.    Tôt
9.     Au ventre
10.   La rosée
11.   Itinéraire
12.   La chambre sourde
13.   Le bout de la langue
14.   Quelqu’étiquettes
15.   L’amorce des consignes
16.   Linge
17.   Train-train
18.   Un soulagement
19.   Je descends
20.   Une protection
21.   Un sacré paquet
22.   Moi, qui l’aimais tant
23.   Il y a (panorama) – extrait
24.   Robe longue et p’tite cravate
25.   Je ne sais pas
26.   Cette chanson
27.   6+1
28.   En tête
29.   La brosse à cheveux (muette)
30.   Je m’en vais
31.   Le prévu
32.   L’imprévu
33.   Quelqu’un
34.   L’impossible
35.   Par terre
36.   Dehors (2)
37.   Quelqu’un est tombé
38.   Du mercurochrome
39.   À portée de main
40.   En partance
41.   Clinique
42.   La tête la première
43.   Qui s’abat
44.   Il s’est précipité
45.   1/79
46.   La chaleur
47.   Mur
48.   On le retrouvera
49.   Le plus gros juron
50.   La dispute
51.   La surdité
52.   La tête
53.   Domicile
54.   La porte ne s’est pas ouverte (1)
55.   Le tour du cadran
56.   Plein air
57.   1/2/3
58.   Ce lointain
59.   Mon possible
60.   Il y a, ensuite
61.   Comme tout le monde
62.   Le visiophone odorant
63.   L’air qui rentre
64.   La cécité
65.   Dehors (1)
66.   À l’étouffée
67.   Au bord du quai – extrait
68.   Je m’en vais – extrait
69.   Expectoration à la clef
70.   Exhalaisons (ville)
71.   Par surprise
72.   La centrifugeuse
73.   Une douleur spéciale
74.   Fringale
75.   Menu
76.   Je marche
77.   Cet empêchement
78.   Les symptômes
79.   Lalalamour
80.   Son coin
81.   Il dormait
82.   Feu vert
83.   De l’éther
84.   Plomb
85.   Exhalaison
86.   Je m’endors
87.   Présage
88.   Au pied du lit
89.   Extinction
90.   La chaise
91.   Un faible pour le lac
92.   Un rêve comme un cauchemar
93.   Rêverie khmère
94.   Pleine nuit (2)
95.   Moi, qui
96.   La journée
97.   Courants d’air
98.   Epuisement
99.   La brosse à cheveux
100. J’ai changé
101. Fatigue
102. Visite imprévue, zéro
103. La tamponneuse
104. Bière
105. Soulagement/regret
106. Inciser
107. État liquide


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à propos

texte de Paul-Emmanuel Odin, La Compagnie, Marseille, 2006

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